11/02/2020 : "on aime savoir pour qui on vote"

C'est difficile de parler de soi. Ne pas en parler, c'est donner le sentiment que l'on pourrait avoir l'arrogance d'imaginer que tout est connu ou à l'opposé qu'il y aurait tant à cacher. Comme personne n'oblige de candidater, il faut en accepter des règles. Dont celle d'aimer savoir pour qui on vote comme pour quoi on vote. Pour quoi on vote, nous avons donné les explications détaillées. Pour qui on vote dans notre équipe, les présentations individualisées sont intervenues à quelques exceptions près qui vont être effectuées dans les prochains jours. Car j'ai veillé à ce que chaque présentation soit rédigée par mes soins avec des explications précises. Et j'ai parfois pris du retard dans cette rédaction. Tout simplement. Pour ce qui me concerne, le plus facile m'a semblé d'organiser une balade à travers des photos clefs. Tout naturellement, commencer par la lettre A comme années. Les années passent très vite. Trop vite. Des épreuves changent les tempéraments. Les visages. Mais sur les thèmes d'un engagement public, même si je suis à l'écart de tout mandat public depuis près de 20 ans, les thèmes majeurs sont restés les mêmes : environnement, services publics de proximité, eau ... Dernièrement, je suis "tombé" sur un article du Dauphiné Libéré du 30 octobre 1990. On y retrouve dans le texte même tout l'actuel débat sur la diversité des paysages, des urbanismes, des villes ET des villages, débat de fond que nous connaissons actuellement avec Le Villarey. J'ai toujours été attaché à cette valeur de diversité. Elle est essentielle dans l'aménagement des espaces comme dans la vie des groupes humains. La diversité, c'est le choix. C'est donc la liberté. C'est la raison de fond de mon engagement contre le Villarey : ne pas céder à l'uniformité des petites villes où règnent bitume et béton. 


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