07/12/2019 : surtout ne pas dire ...

Aux Combes, il y a quelques semaines, une voiture brûle. Aux Blanchières, il y a quelques jours, un citoyen met en fuite un véhicule qui s'apprêtait probablement à commettre un vol. Jeudi matin, une banderole protestant contre le Villarey (posée par qui ?) n'a même pas tenu une matinée avant d'être retirée alors qu'une banderole relative à la déchetterie a tenu des ... mois. Les séances publiques du Conseil Municipal ne sont plus relatées dans le Dauphiné Libéré depuis avril 2018, seule Commune dans ce cas ! Pour une salle publique pour tenir une simple réunion d'information dans le cadre des élections municipales, depuis le 14 novembre à 09 heures 15, date de la demande, la mairie refuse toute communication. La délibération a pourtant été adoptée le 2 décembre dans le cadre d'un conseil ne respectant pas les délais des jours francs et depuis ce qui suppose un simple clic de transmission n'est même pas opéré. La personne à l'accueil dit "oui" mais pas de suite. Surtout ne pas dire : c'est la règle de fonctionnement. Ne pas reconnaitre le droit de savoir. Cette mentalité traduit une confiscation de la Commune. Pour certains sujets, elle entraîne même une exposition plus fragile des habitants non alertés par certains actes de délinquance. Sous ce dernier aspect, un volet grave.


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