Denis Bonzy

#risquesnaturels : le Premier Ministre répond positivement à mes démarches par une correspondance du 16 décembre 2021 et saisit des autorités de l'Etat directement en charge de ce dossier. 

#risquesnaturels : plus de 4 mois et 1/2 après les boues torrentielles de fin juillet 2021, nombreuses questions posées sur la reconnaissance ou pas (???) d'état de catastrophe naturelle qui facilite considérablement les indemnisations pour les victimes. 1) Notre équipe ne dispose d'aucune information en la matière. Lors du dernier conseil municipal, #davidbraisaz en charge de ce dossier n'a donné aucune information précise si ce n'est le retard pris dans la communication de certaines pièces. 

Mercredi 1er décembre, éboulement à 20 heures au pied du Rocher de la Bourgeoise. Samedi 04 décembre, éboulement au ruisseau de la Cascade. Et toujours le 4 décembre, chemin Bémont, le non entretien des caniveaux produit des dégats sur la voirie. Dans l'inaction des dernières années, les crises augmentent dangereusement. 

Près de 120 jours après les pluies torrentielles de fin juillet 2021, rien de sérieux n'a été entrepris en amont des zones à risques. C'est une inaction grave qui expose plus de 100 habitations à des risques inédits. Par une correspondance détaillée de 3 pages, j'ai saisi le Premier Ministre de cette réalité. 

Le musée Champollion (Vif) : le nouveau défi : l'inscrire dans des temps forts d'animations locales : La réalisation a indiscutablement dépassé l'imagination de départ. Quand nous avons lancé le projet au début des années 90 (et tout particulièrement M. Daniel Biston (alors Maire de Vif), M. Bernard Laroche en qualité de rédacteur du contrat de pays de Vif et M. Jacques Menut), en toute sincérité, nous n'imaginions pas un musée de cette qualité.

#SurLeTerrain : dans les tranchées des coulées de boues torrentielles : c'est un exercice passionnant que de se rendre au départ d'une coulée de boue et de la parcourir à la descente pour constater les choix de directions qui ont été opérés par la nature. Des travaux très anciens de protection trouvent alors une justification qui mérite l'admiration par la connaissance d'alors du terrain. La satisfaction de constater que des nouveaux arrivants de plus en plus nombreux cherchent à mieux connaitre ce sujet. 

Comment comprendre que le sud de l'agglomération grenobloise attende toujours son lycée ? La Région Auvergne Rhône Alpes effectue un effort considérable à destination des lycées. Dans le Rhône, ouverture du lycée Docteur Charles Mérieux , budget global : plus de 65 millions d’euros. À Meyzieu, construction du lycée Colonel Arnaud Beltrame (ouverture en 2023). Un nouveau lycée programmé sur Caluire-et-Cuire. Dans le département du Puy de Dôme, à Clermont-Ferrand, un nouveau lycée Saint-Jean est en chantier. Dans l’Ain, un nouveau lycée à Gex : 57 millions d'euros (ouverture en 2025 ). Et en Haute-Savoie, idem … 

Emmanuel Macron, Bruno Retailleau, David Lisnard ont confirmé par des correspondances très détaillées leur intérêt pour des propositions que j'ai émises dans le cadre du débat sur les SDAGE. Par le contenu de ces correspondances, des avancées notoires sont probables désormais à court terme.

DB

Nicolas Sarkozy rêvait de supprimer la fonction de conseiller départemental pour la fondre avec celle de conseiller régional. Avec les travaux préparatoires de la loi NOTRe, François Hollande a testé cette hypothèse et a renoncé. Mais avec l'éloignement du terrain, certains conseillers départementaux suppriment d'eux-mêmes cette fonction. C'est dommage. Car cela revient à une fausse disparition avec une survie formelle qui coûte très cher aux contribuables. La professionnalisation altère beaucoup des méthodes de gestion très éloignées des réalités dans la vie des entreprises qui, elles, ne peuvent se couper de la réalité du terrain.

La municipalité est tombée de façon étonnante dans deux travers inquiétants dans la gestion du danger des risques naturels. 1) Elle s'isole par sectarisme. 2) Trop de ses membres ignorent le terrain. Le 31 juillet, le désarroi de Mme Valerie Cazaux était terrible à constater. Si les pluies diluviennes étaient tombées sur Pieu et non pas sur le versant Est du Vercors, la situation dramatique aurait été catastrophique (c'est le mot juste).