Depuis le 17 juillet, la Métro est en vacance de pouvoir. Imagine-t-on une entreprise dans une telle situation ? Non. Ce qui montre bien combien ces professionnels de la politique sont peu préoccupés par la gestion d'une Institution. Au couac politique s'ajoute désormais un couac juridique. Le service de ...
légalité de la Préfecture conteste un dispositif de délégations. Les élus de la Métro ne s'épargnent aucun sujet de discrédit. Seule zone d'humour dans ce paysage assez sombre : la théâtralité avec laquelle David Richard a jugé nécessaire de quitter la séance du 17 juillet. Des personnes présentes en rient encore à l'exposé des gestes alors mis en scène.
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